QUEEN’S PARK, le 15 mai 2013 – le député de Timmins-Baie James, M. Gilles Bisson, dit que les fermetures de routes, qui arrivent constamment dans le nord de l’Ontario en raison de la neige tardive, montrent clairement que les contrats de déneigement privés laissent tomber les gens du Nord.

« La semaine dernière, c’était la ville de Timmins et sa région qui a perdu l’accès aux autoroutes en raison de chutes de neige, qui sont tout à fait normales pour le mois de mai, alors qu’aucun chasse-neige n’a été dépêché », a dit M. Bisson. « Maintenant, la route 101 a subi une fermeture de trois jours parce que le MTO ne pas fait ce qu’il a à faire pour informer l’entrepreneur sur ce qu’il a à faire pour être en mesure d’ouvrir un fossé. En conséquence, la route 101 près de la ville de Wawa a été fermée pour un certain nombre de jours ».

Bien que le ministre des Transports Glen Murray ait prétendu que la neige était inhabituelle, Bisson a dit que les chutes de neige et les gels en fin de saison sont des phénomènes normaux dans le nord de l’Ontario, et qu’ils étaient mieux pris en charge avant la privatisation de l’entretien routier.

« Le nord de l’Ontario et le reste de cette province sont soumis à ce type de température depuis des années. Ce n’est pas comme s’il ne neige pas au mois de mai dans le nord de l’Ontario », a déclaré M. Bisson. « Le problème est que le MTO a perdu la capacité de répondre aux conditions telles qu’elles sur nos routes et à les garder ouvertes ».

Bisson a demandé à Murray de prendre des mesures pour réparer ce système de contrat qui est déficient.

« Quand allez-vous admettre que le système ne fonctionne pas et faire quelque chose pour le corriger avant que nous ayons des difficultés vraiment sérieuses dans le nord de l’Ontario? » a demandé M. Bisson. « Voulez-vous vous engager à examiner réellement ce système afin que nous ne finissions pas dans cette situation chaque fois qu’il pleut ou qu’il neige quelque part en Ontario? ».

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QUEEN’S PARK, le 30 avril 2013 – Étant donné que les règles d’appels d’offres strictes forcent les plus petites compagnies d’autobus scolaire à cesser leurs opérations, le député provincial de Timmins-Baie James, M. Gilles Bisson, a demandé à la première ministre de comprendre l’impact de la politique du gouvernement sur les petites entreprises de l’Ontario.

« Il y a des compagnies d’autobus à Barrie. Il y a des compagnies d’autobus à Cornwall, à Timmins, à Elgin et ailleurs en province qui ont dû fermer en raison de cette politique », a déclaré M. Bisson. « Pourquoi? Parce que ce gouvernement décide que seules les grandes compagnies internationales d’autobus devraient œuvrer dans le domaine des services aux conseils scolaires et à nos enfants. »

De nouveaux critères introduits par le gouvernement libéral font en sorte qu’il est impossible, pour les petites entreprises indépendantes avec moins de ressources, de concurrencer les grandes compagnies d’autobus multinationales.

« Est-ce que la première ministre Wynne comprendra pour une fois que ce qu’elle fait c’est de tuer les petites entreprises de la province, une chose qu’il ne faut pas faire? » a demandé M. Bisson..

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QUEEN’S PARK, le 24 avril 2013 – Après la fermeture hier de l’autoroute 11 entre Hearst et Kapuskasing, Gilles Bisson est revenu sur la mauvaise gestion de l’entretien des routes dans le Nord. De nombreux exemples de ce genre prouvent que la privatisation libérale/conservatrice de l’entretien des routes en hiver ne fonctionne pas. Ce qui suit a eu lieu aujourd’hui à l’Assemblée législative, c’est l’échange entre le député provincial de Timmins-Baie James, Gilles Bisson, et le ministre de l’Infrastructure et des Transports tel que relevé dans le journal des débats.

M. Gilles Bisson : Ma question s’adresse au ministre de l’Infrastructure et des Transports. Monsieur le ministre, nous nous sommes rencontrés il y a environ un mois, j’étais avec mon collègue, le député de Timiskaming. C’était pour parler de l’état des routes du nord de l’Ontario et de la façon dont l’entretien des routes se fait, et en ce moment, le niveau de l’entretien est inférieur aux normes, et les fermetures de routes sont nombreuses. Je vais demander à un page de venir ici pour vous montrer une photo qui a été prise hier sur la route 11 non loin de Hearst. La route a été fermée, monsieur le ministre, alors qu’il n’y aurait jamais dû y avoir de fermeture. Ce n’est pas comme s’il n’avait jamais neigé dans le nord de l’Ontario. Les normes auxquelles sont tenus les entrepreneurs pour l’entretien des routes sont inférieures à ce qu’elles étaient lorsque c’était le ministère des Transports qui les entretenaient. Vous avez dit que vous alliez examiner cette question. Pourquoi les routes sont-elles encore fermées durant des tempêtes de neige modérées dans le nord de l’Ontario?

Hon. Glen R. Murray : Je suis très heureux d’y répondre. Je tiens à remercier le député pour sa question et je tiens également à le remercier, lui et son collègue, d’avoir travaillé avec nous sur cette question. Comme le député le sait, les normes n’ont pas changé.

 M. Gilles Bisson : C’est ça le problème.

Hon. Glen R. Murray : Non, non. Je comprends les préoccupations. Je tiens à dire que je crois que c’est une préoccupation très sincère, que je partage. Nous cherchons des moyens, et j’ai pris l’avis des députés d’en face, sur la façon dont nous pouvons améliorer ces normes. Nous travaillons très étroitement sur cela maintenant. Nous examinons cela avec les régions. Je serai sur place, en fait, demain en réunion avec les maires du nord-ouest de l’Ontario et nous parlerons de cette question, et je vais continuer dans ma supplémentaire à donner une réponse plus complète.

Le président (L’hon. Dave Levac) : Une question supplémentaire?

M. Gilles Bisson : Monsieur le Ministre, de toute évidence, ceci démontre que votre projet de privatisation ne fonctionne pas. Vous essayez d’obtenir des entrepreneurs qu’ils entretiennent une autoroute à un niveau moindre que nous avions l’habitude de le faire quand c’était nous qui avait l’habitude d’entretenir ces autoroutes. Ce n’est pas comme si, comme je le disais plus tôt, qu’il ne neige pas dans le nord de l’Ontario, il neige depuis des siècles dans le nord de l’Ontario. La différence est que nous étions en mesure de déneiger les routes.

Donc, je vais vous le demander encore une fois : allez-vous revenir sur la décision de votre gouvernement de privatiser, ou tout au moins augmenter les normes dans ces contrats afin que nous puissions conduire sur les routes et ne pas constater des fermetures comme ce fut le cas hier?

Hon. Glen R. Murray : C’est une conversation récurrente que j’ai eue avec les maires qui ont dit que leur propre enlèvement de la neige cette année a été particulièrement difficile en raison de la nature du mélange de précipitation et les défis qu’ils avaient. Ce n’est pas unique à l’Ontario. Il existe différents modèles météorologiques et il y a des défis différents, très sérieusement. Cela en fait partie.

Je vous ai dit aussi, très sérieusement, que je pense que nous pourrions faire un meilleur travail là-bas, et vous avez donné quelques suggestions à notre gouvernement, suggestions que nous prenons très au sérieux. Je vais examiner en particulier cette question. J’en remercie le député. Je prends à nouveau cette révision très au sérieux. Je serai de retour dans le nord de l’Ontario, en fait demain, et je me réjouis de continuer la conversation avec le député d’en face, et j’apprécie sa sincérité..

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QUEEN’S PARK, le 22 avril 2013 – Le député provincial de Timmins-Baie James, M. Gilles Bisson, affirme que les conducteurs de véhicules commerciaux ayant certains problèmes de santé sont forcés de rebrousser chemin à la frontière. Ce qui suit est une partie de la déclaration faite par Gilles Bisson à l’Assemblée législative hier…

« De plus en plus, nous recevons des plaintes de la part d’électeurs de ma circonscription, et j’imagine que c’est la même chose dans Algoma-Manitoulin de même qu’à Sudbury et dans d’autres collectivités, à savoir que des personnes qui conduisent des camions commerciaux depuis des années se font maintenant refuser l’entrée aux États-Unis. Cela en raison d’un nouveau code inscrit sur les nouveaux permis de conduire de l’Ontario. »

Bisson a expliqué que le gouvernement américain a un règlement qui empêche les gens qui présentent certaines affections médicales de conduire des véhicules commerciaux aux États-Unis. Ce n’est pas le cas en Ontario. Par exemple, une personne qui a le diabète, une maladie qui est contrôlable avec des médicaments, est autorisée à conduire des véhicules commerciaux en Ontario.

Un nouveau code inscrit sur les nouveaux permis de conduire de l’Ontario identifie le titulaire du permis comme ayant une affection médicale. Lorsque le conducteur commercial entre aux États-Unis, cette personne est bloquée à cause de ce nouveau code.

Il s’agit manifestement d’un oubli, ou est-ce en partie une question de la sécurité intérieure, dans ce cas, ça ne fonctionne pas. Nous avons nos règlements ici au Canada, si les États-Unis ont des règlements, c’est à eux de déterminer lesquels de nos chauffeurs sont classés de quelconque façon. Ça ne devrait pas être à nous de divulguer librement et ouvertement aux États-Unis et à leurs douanes cette information, empêchant ainsi nos chauffeurs de camion de gagner leur vie..

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« Les gens de partout à travers le Nord – qu’il s’agisse de municipalités, de travailleurs et travailleuses, d’expéditionnaires ou de passagers – sont en accord sur une chose : la privatisation n’est pas une option », a déclaré M. Bisson.

Pendant la récente course à la chefferie du Parti libéral de l’Ontario, plusieurs des personnes inscrites dans la course ont dit qu’elles suspendraient le processus de privatisation afin qu’une consultation élargie puisse avoir lieu. Cependant, la première ministre Wynne a clairement indiqué ce lundi que le processus de désinvestissement continuerait comme prévu, et ce malgré une consultation toujours en cours.

« Ce gouvernement essaye de dire qu’il est un nouveau gouvernement ontarien. Je peine à voir ce qu’il y a de nouveau dans leur comportement. La seule chose que l’on puisse dire nouvelle est la suivante. Ils sont allés vers les maires du Nord de l’Ontario et leur ont dit : “Aidez-nous, s’il vous plaît, à privatiser cette agence”. Ce n’est pas ce que veulent les gens du Nord et ce n’est pas ce que les néo-démocrates ont demandé », a expliqué M. Bisson.

« Ce que nous vous avons demandé de faire est de mettre le holà à toute cette affaire et de donner aux gens du Nord la possibilité d’examiner la CTON pour voir comment nous pourrions la gérer comme une commission financée par le trésor public, de même que nous le faisons avec GO Transit et avec beaucoup d’autres agences du même type à travers la province », a précisé M. Bisson.

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Bisson dit que les efforts de lobbying de tous les habitants du Nord commencent à porter leurs fruits. « Nous sommes passés d’une situation où 10 parcs étaient fermés au point où certains resteront ouverts l’année prochaine. Il est clair cependant que nous devons maintenir la pression parce que la proposition n’est pas sans susciter quelques inquiétudes. »

Gélinas indique que les groupes de citoyens, les députés provinciaux et les maires ont réussi à faire pression sur le ministre. « Vos courriels, vos pétitions, vos lettres et votre travail acharné commencent à montrer des résultats. Cet effort concerté de coopération fonctionne. »

Bisson demande au ministère de rencontrer les groupes locaux de citoyens qui représentent les campeurs pour établir un accord acceptable.

Depuis que l’annonce de la fermeture des parcs du Nord a été faite, Bisson et d’autres députés provinciaux néo-démocrates ont travaillé sans relâche avec les citoyens et les élus locaux pour faire pression sur le gouvernement libéral pour qu’il revienne sur sa décision.

« Le ministre parle maintenant de la façon dont nous pouvons garder une certaine ouverture. En tant que citoyens du Nord, nous devons poursuivre la discussion jusqu’à ce qu’un accord acceptable puisse être atteint. ».

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« Il semble que le ministre est prêt à nous rencontrer à mi-chemin. Mais cela étant dit, il reste à voir ce que seront ces changements. »

Bisson souligne qu’il est trop tôt pour dire ce que les libéraux feront sur la question, car ils sont au milieu d’une course au leadership et le pouvoir législatif est prorogé.

« Évidemment, nous n’avons pas l’occasion de porter cette question devant l’Assemblée législative pendant la période quotidienne de questions. Mais M. Gravelle et moi avons eu un dialogue très positif depuis que la décision a été rendue. Aussi, nous avons aussi une grande coalition de partenaires qui font du lobbying ensemble. »

Bisson a travaillé étroitement sur cette question avec les campeurs, les maires et les entreprises touchés par cette décision.

« J’ai toujours cru que le Nord a besoin de travailler et de parler d’une seule voie. Ce partenariat, qui a réuni des milliers de pétitions et courriers électroniques, a entraîné le ministre à revoir la question parcs… Et dans le Nord, c’est tout ce que l’on peut demander. »

Bisson espère bientôt entendre quelque chose de Michael Gravelle, mais il souligne que rien n’a encore été décidé..

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Samedi, le Club de golf de Smooth Rock a tenu son 11e tournoi annuel de golf sur invitation Adam et Ève et en a profité pour célébrer quelques bonnes nouvelles avec la communauté. Le député provincial de Timmins-Baie James, Gilles Bisson, s’est joint aux gens du club pour annoncer officiellement que le club avait reçu une subvention de 15 000 $ de la Fondation Trillium de l’Ontario (FTO), afin de permettre l’achat d’un tracteur à pelouse pour nettoyer et entretenir ce terrain de golf communautaire de neuf trous. La meilleure qualité du terrain permettra au club de conserver ses bénévoles et d’attirer de nouveaux membres de Smooth Rock Falls et des collectivités voisines pour qu’ils pratiquent ce sport, qui contribue à un mode de vie active et saine.
M. Marc Dupuis, représentant de la FTO, se trouvait sur les lieux en plus de M. Bisson pour présenter une plaque au président du club, M. Gérald Latour. D’autres faisaient également partie de la fête, notamment le maire de Smooth Rock Falls, Mitch Arsenault, le capitaine du golf masculin, Armand Cousineau ainsi que des dirigeants et des membres du club.

CITATIONS

« Je suis fier de fêter ces bonnes nouvelles avec les bénévoles du club de golf de Smooth Rock. L’amélioration des conditions sur le parcours attirera plus de joueurs, qui à leur tour aideront Smooth Rock Falls à accueillir plus d’activités. Je suis heureux que la Fondation Trillium de l’Ontario ait vu l’importance de ce projet et ait soutenu notre communauté locale. »
Gilles Bisson, député provincial de Timmins-Baie James.

« Cette subvention sera utilisée pour l’achat d’une nouvelle tondeuse pour les verts qui nous aidera à maintenir et à améliorer la qualité du terrain de golf de Smooth Rock Falls pour les années à venir. Nous sommes reconnaissants de l’engagement de la Fondation Trillium de l’Ontario envers les loisirs et la vie saine dans notre communauté. »
Gérald Latour, président du terrain de golf de Smooth Rock Falls.

À PROPOS

Le terrain de golf de Smooth Rock Falls est un parcours de neuf trous situé au Centre culturel Reg Lamy au cœur de Smooth Rock Falls, On. Le parcours est entouré par un paysage magnifique et offre des installations récréatives et des loisirs au bénéfice de toute la communauté et de ces visiteurs. Le club organise des tournois de golf, des cours pour les golfeurs débutants et les juniors en plus de travailler avec d’autres organisations pour leurs activités de collecte de fonds.

Un bailleur de fonds de premier plan au Canada, la Fondation Trillium de l’Ontario renforce les capacités du secteur bénévole en investissant dans des initiatives communautaires. Un organisme du gouvernement de l’Ontario, la FTO favorise les communautés saines et dynamiques.

EN SAVOIR PLUS

• Pour plus d’informations à propos du Club de golf de Smooth Rock Falls, visitez le www.smoothrockfallsgolf.weebly.com
• Pour de plus amples renseignements sur la Fondation Trillium de l’Ontario, visitez le site www.otf.ca

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« Monsieur le Ministre, pouvez-vous nous confirmer que vous êtes de quelque façon que ce soit, en discussions avec Cliffs Resources pour signer un permis ministériel qui permettrait d’expédier de la chromite à l’extérieur du Canada? »

Bartolucci a évité la question ce qui a incité Gilles Bisson à la reposer.

« Êtes-vous, oui ou non, en discussions avec Cliffs Resources pour signer un permis ministériel permettant l’expédition de chromite brut à l’extérieur, oui ou non? C’est tout ce que je veux savoir. »

Si les libéraux n’ont pas l’intention de permettre à Cliffs Resources d’envoyer de la chromite à l’extérieur du Canada, le ministre aurait pu répondre à la question. Le fait qu’il n’a pas répondu, ça remet en question ce que le gouvernement McGuinty est en train de planifier..

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« M. le premier ministre, des gens de partout dans le nord-est de l’Ontario ont été contrariés par la décision de votre gouvernement de démanteler la Commission de transport Ontario Northland. Les gens voient cela comme une décision malavisée qui démontre encore une fois le manque de respect et d’engagement de votre gouvernement dans le nord de l’Ontario », a déclaré M. Bisson.

Le processus de démantèlement est toujours en cours, et les plans initiaux portaient à croire que le Northlander serait en service beaucoup plus longtemps.

« Vous aviez initialement annoncé que le démantèlement de la CTON ne commencerait pas avant le printemps 2013 », a déclaré M. Bisson. « Les citoyens de partout dans le Nord organisent une opposition à cette vente massive dans l’espoir de vous amener à revenir sur votre décision et de ne pas vendre la CTON. »

Le train Northlander est une voie de communication essentielle, allant de Toronto à Cochrane en passant par plusieurs municipalités du Nord. Dans les communautés desservies, les résidents et les entreprises comptent grandement sur ce service.

« Admettrez-vous que votre annonce récente qui devançait la date d’arrêt du train Northlander, du printemps de 2013 au 28 septembre de cette année, est une tentative de la part de votre gouvernement de contrer l’opposition contre le démantèlement? » a demandé M. Bisson..

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